Game of Thrones : La Guerre des Cinq Rois
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Game of Thrones : La Guerre des Cinq Rois

Jeu en ligne portant sur le célèbre univers crée par George Martin.
 
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 Le Peuple Libre

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Rickard Dondarrion
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Rickard Dondarrion


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MessageSujet: Le Peuple Libre   Le Peuple Libre EmptyJeu 27 Juin 2013 - 17:23

Le terme « sauvageons » désigne de manière péjorative, dans les Sept Couronnes, l'ensemble des peuplades humaines vivant au-delà du Mur, à l’extrême nord de Westeros. Celles-ci préfèrent quant à elles se désigner par l'endonyme « peuple libre ». Ce peuple est constitué d'une majorité d’humains descendant des lignées des Premiers Hommes.

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Langue

Si tous emploient la vieille langue, la plupart des sauvageons ne parlent pas la Langue Commune, surtout ceux des régions reculées, comme à Thenn par exemple.

Habitat

Les sauvageons sont des sédentaires, qui vivent dans de petits villages (comme L'Arbre blanc). Ce sont des communautés relativement isolées qui représentent une faible densité de population. Un village typique peut contenir une douzaine de petites maisons rondes, construites en pierre, et une maison commune plus spacieuse, aux murs de rondins et au toit de terre Cet habitat est simple, à tel point que les guerriers qui franchissent le Mur pour piller les terres du Don prennent les tours de guet qu'ils y voient pour des châteaux.

La notion de propriété foncière est étrangère au peuple libre : un homme ne saurait être propriétaire du sol, pas plus qu'il ne saurait l'être du ciel ou de la mer.

Lorsqu'ils se déplacent, ils utilisent des vans, des traîneaux et des charrettes pour transporter leurs possessions, et s'abritent la nuit sous des tentes de cuir, de feutre ou de peau, ou sous des appentis hâtivement bâtis contre des parois rocheuses, voire simplement sous leurs fourgons.

Craintes

Les sauvageons craignent l’hiver, car ils savent qu’avec le retour des jours froids reviennent ceux qu’ils appellent les « marcheurs blancs », plus connus dans le royaume sous le nom d’Autres. Du fait qu’ils vivent au-delà du Mur, les sauvageons n’ont rien à interposer entre eux et les Autres, et ils en sont donc les premières victimes. Ils ne peuvent rien faire contre eux, les Autres étant insensibles à toutes leurs armes.

De façon plus anecdotique, les sauvageons semblent craindre la léprose et, alors que les Mestres considèrent généralement que la forme infantile de l'infection immunise ceux qui en sont touchés des autres formes de la maladie, le peuple libre considère que la forme infantile, en sommeil, peut retrouver sa virulence et constituer un nouveau foyer d'infectio.
Religion

Comme une large majorité des Nordiens, les sauvageons prient les anciens dieux. On trouve d’ailleurs au nord du Mur de gigantesques barrals (comme celui qui a donné son nom au hameau de l'Arbre blanc), car ceux-ci n’ont jamais enduré la morsure des haches andales lors de l’invasion.

Ils respectent les lois de l'hospitalité.

Naissance, vie en couple, mariage et rites funéraires

Les enfants du peuple libre n'ont pas de nom jusqu'à l'âge de deux ans (tant qu'ils ne sont pas sevrés), car cela porte malheur.

Pour le peuple libre, un homme et une femme peuvent avoir des relations sexuelles sans pour autant être mariés sans déshonneur. Si la femme devient enceinte, et si elle désire garder l'enfant (le peuple libre connaissant et utilisant le thé de lune), celui-ci ne sera pas stigmatisé pour sa bâtardise (cette notion est connue chez le peuple libre, mais n'a pas de caractère péjoratif ; c'est le simple constat d'une naissance hors mariage).

Le peuple libre a une coutume particulière concernant le mariage : un homme ou une femme doit aller chercher son futur conjoint hors de son village d'origine en allant l'enlever. L'objet de cette tentative et sa famille s'opposent à la tentative de rapt, qui ne peut réussir qu'en triomphant par la force ou la ruse de cette opposition. Il semble qu'au-delà de cet enlèvement plus ou moins ritualisé, le consentement des deux conjoints reste nécessaire à la conclusion du mariage (un mariage forcé étant contraire à l'idéal de liberté et d'indépendance du peuple libre). Quant à la vie en couple, sans être parfaitement égalitaire, il semble que le mari ne puisse prétendre à diriger le couple du simple fait de sa qualité d'homme : son épouse ne lui obéira que si elle le respecte. Et s'il utilise la violence, il risque de se retrouver égorgé dans son lit. « Un homme peut avoir une femme, un homme peut avoir un poignard, mais il n'y a pas d'homme qui puisse avoir les deux à la fois », dit un proverbe connu de toutes les femmes du peuple libre.

Le peuple libre brûle ses morts, sans doute pour éviter qu'ils ne soient victimes des Autres. Mais cette pratique correspond également à une vision religieuse, où les défunts rejoignent les dieux, eux-mêmes présents dans la Nature entière.

Technologie, monnaie et armement

Les sauvageons n’ont pas de monnaie et pratiquent le troc.

Les sauvageons n’ont pas un niveau technologique développé : ils ne savent pas forger le fer ou l’acier, ce qui explique qu’ils aient très peu d’armes de ce type. Seuls les raids au sud du Mur, les prises sur des hommes de la Garde de Nuit et les échanges avec quelques contrebandiers audacieux osant braver les patrouilles maritimes de la Garde leur permettent de s’en procurer. Beaucoup de leurs armes et armures sont en os, en pierre taillée (haches) ou en bois (petits arcs, piques durcies au feu, maillets). Leurs boucliers ronds sont des peaux tendus sur une armature d'osier, et leurs casques rudimentaires sont fait de bois et de cuir bouilli. Seuls les Thenns se distinguent par leur armement de bronze.

Les sauvageons ignorent l'usage des corbeaux messagers.

Organisation sociale et militaire

De manière générale, les sauvageons ne respectent guère l'autorité et sont indisciplinés. Cependant, cette absence de hiérarchie d'ensemble n'empêche pas certains groupes de connaître une organisation plus ou moins rigoureuse, comme les Thenns. Un individu doté de qualités exceptionnelles peut également imposer sa volonté à un groupe plus ou moins étendu. C'est le cas par exemple de Craster, aux pratiques religieuses effrayante, ou de Varamyr, puissant change-peau. Mais c'est toujours un pouvoir précaire, qui s'écroule dès que son possesseur perd sa capacité à le maintenir.

Même en guerre, les décisions du chef sont toujours susceptibles d'être discutées, voire rejetées par ses hommes. Là encore, les Thenns sont une exception par leur discipline.

Les sauvageons sont épisodiquement dirigés par une personne portant le titre de roi d’au-delà du Mur. Celui-ci est choisi en fonction de sa force et de son talent à mener les hommes : les prétendants doivent s’accorder sur l’un d’entre eux.

En guerre, les sauvageons n'hésitent pas à torturer leurs prisonniers avant de les exécuter (seuls les déserteurs de la Garde de Nuit sont épargnés), et un sauvageon capturé peut se trancher la langue d'un coup de dents pour ne pas parler. Les femmes peuvent très bien être guerrières (on parle de piqueuses) ou chasseuses, les préjugés du Sud n’existant pas au-delà du Mur, où l'on a bien besoin de tous les bras disponibles pour parvenir à subsister.

Si certains sauvageons sont des combattants individuellement réputés (comme Clinquefrac, Alfyn Freux-buteur, Harma la Truffe ou le Chassieux), leur manque d'équipement, mais surtout leur individualisme et leur indiscipline les rendent vulnérable aux attaques de troupes entraînées, même très inférieures en nombre. En outre, ils ne disposent pas d'armée à proprement parler, les guerriers étant accompagnés de leur clan, avec femmes, enfants, vieillard et bétail, ce qui en réduit la mobilité et la discrétion. Lors des étapes, hormis quelques groupes qui patrouillent les alentours, aucune mesure de défense (épieux, fossés, tours de garde, …) n'est mise en place. Chaque clan s'installe où bon lui semble, dans le plus complet désordre.
Rapports avec les Sept Couronnes

Séparés du reste de Westeros par le Mur, les sauvageons n’ont aucun respect pour les habitants des Sept Couronnes, les qualifiant d’« agenouillés » du fait de leur soumission aux règles d'une société féodale hiérarchisée. Du fait de leur faible niveau technologique et de leur relatif dénuement, ils cherchent à se procurer les objets qu'ils ne peuvent fabriquer, principalement les armes et les outils métalliques, mais aussi du vin ou du sel. Les femmes font également l'objet d'enlèvements (ce qui est conforme aux coutumes matrimoniales du peuple libre, y compris pour les épouses issues de ses propres rangs). De nombreux pillards parviennent à franchir le Mur, soit en le contournant par les Gorges à l'ouest ou par la baie des Phoques à l'est, soit en l'escaladant. Mais ils sont en général rapidement repérés et pris en chasse par la Garde de Nuit, et rares sont ceux qui parviennent à revenir avec leur butin. Cependant, l'affaiblissement de la Garde rend ces raids incessants difficile à contrer, et les terres du Don sont désormais presque désertes, la population ayant préféré fuir vers le sud ou dans les terres de la maison Omble.

Pour les habitants des Sept Couronnes, les sauvageons constituent un peuple non civilisé. Ils passent pour être des pillards, des assassins et des kidnappeurs d'une grande cruauté. De nombreuses rumeurs et contes sont colportés à leur sujet, ils seraient alliés aux créatures de l'au-delà du Mur (géants, snarks et tarasques), ils boiraient du sang dans des crânes humains et les femmes coucheraient avec les Autres pour enfanter des monstres.

Les relations entre les sauvageons et la Garde de Nuit ne sont cependant pas uniquement conflictuelles. Au fil des siècles, il y a eu des échanges culturels entre les deux groupes, qui peuvent partager chansons et légendes (comme la légende de Baël le Barde ou l'histoire de Gorne et Gendel), même si les versions peuvent différer de part et d'autre du Mur. Certains frères de la Garde ont déserté au-delà du Mur, et certains enfants de sauvageons ont été recueillis et élevés par les frères jurés et ont rejoint leurs rangs. Il existe même des échanges commerciaux, basés sur le troc, entre les sauvageons peu ou pas hostiles à la Garde (qualifiés d'« amis de la Garde de Nuit ») et les frères jurés, surtout à Fort Levant, où les navires venus de l'Orient permettent d'obtenir des marchandises rares et convoitées, que les sauvageons échangent contre des fourrures ou de l'ambre.
Les différents clans

Si l'ensemble des sauvageons partagent beaucoup de traits communs, l'isolement des communautés explique la diversité des organisations claniques que l'on observe parmi eux. On trouve ainsi parmi les sauvageons :

  les Thenns, des Crocgivre,
   les Morsois, habitants de la Grève glacée,
   les tribus troglodytes, aux visages peints,
   les tribus cannibales des fleuves gelés,
   les Pieds Cornés,
   les Court-la-nuit.
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